Quand l'indécense Suisse se complait dans l'ironie
Quand l'indécense Suisse se complait dans l'ironie
La Suisse pour un certain parti politique, une terre de bien-être qui a toujours respecté les droits de l'homme, qui n'a au grand jamais collaboré avec les nazis, qui n'a jamais entendu parler de l'obligation faite par les forces alliées à la fin de la seconde guerre mondiale, de restituer l'or des nazis , qui n'a jamais spoliés les fonds déposés en Suisse par de pauvres êtres assassinés par les nazis, qui n'a jamais eu connaissance des crimes perpétrés contre cette population juive, qui a trompé son peuple en utilisant la verve patriotique, défendre la suisse contre une potentielle invasion nazie, tous ces braves Suisses en étaient persuadés, comme mon père, ils ont consacrés 1500 jours de mobilisation générale, à ce pays pendant que des affairistes s'en mettaient pleins les poches sur leur dos, n'ayant rien à faire de leur vie au cas ou!!!!!!
Pour bien montrer aux nazis que la suisse était un pays avec une discipline de fer comme l'Allemagne, on va s'atteler à nettoyer ce qui je correspond pas à cette image d'une suisse propre en ordre et des citoyens animés par la volonté de vouloir la prospérité de ce pays.
Alors on va copier, sur les nazis, le nettoyage des pauvres, des malades mentaux etc... ce qui est préconisé par différents acteurs adepte du darwinisme, et des théories du psychiatre Joseph Jorger " un éminent théoricien de la santé du peuple suisse adepte du nazisme et de ses théories "mais biensur dans le but d'améliorer la race et la santé du peuple suisse.
C'est ainsi que 20000 voir plus de ses propres citoyens vont en faire les frais même si ils n'ont commis aucuns délits ils sont issus du paupérisme donc..... , bien sur on ne les assassinera pas, mais on va les rendre digne de passer leur reste de vie dans des prisons, les acculer au suicide, l'alcool, la drogue se chargeront de les exterminer,on les a mis sur la voie nous on ne sera jamais mis en cause, en clair qu'ils se détruisent eux mêmes avec les outils que nous leur avons fournit. et ces femmes issue de famille pauvre qui ont eu le malheur d'avoir un enfant avant leur majorité et non mariées, inacceptable ce sont des putes, donc pour les empecher de récidiver on va les stériliser de force enlever leur progéniture afin de lui enlever toute trace génétique malfaisante , et ces hommes qui courent après des filles de bonne famille hé bien ont va les castrer(Le canton de Vaud a autorisé dans sa loi la castration et la stérilisation officiellement) eux aussi, ce sont des zéros ils ne faut pas qu'ils se reproduisent car cela mettrait en danger la bonne santé du peuple suisse et son évolution vers un avenir de citoyens suisse conforme à une vision du suisse travailleur aimant son pays , aimant la famille, et vouant une docilité totale aux institutions helvétiques. Et pour éxécuter leur sale besogne on laissera des incapables notoires imbus de leur personne agir , sans contrôle, sans lois, c'est eux qui la feront, la Confédération s'en lave les mains, c'est pas elle la coupable, mais les cantons , même si elle devait contrôler ces applications et ces dérives ce qui lui revenait par obligation..
Les droits de l'homme? on s'en fou, on a signé pour nous ouvrir des portes , des institutions internationales, notre but est de nous propulser au devant de la scène internationale, les intérêts financiers sont trop importants et c'est cela qui nous intéresse avant tout.
Le rapport Bergier des menteurs , destinés à nous dévaloriser et briser notre économie. C'est ce que pense notre cher ex ministre viré du gouvernement. Mais qui persiste et signe dans d'autres actions.
Les 20000 citoyens suisses dont il a eu un rapport à la poubelle et devant vous, ce sont que des mensonges ils méritaient cela de toute façon.
Et aujourd'hui le Président de la Confédération fait l'apologie de la Suisse un pays d'exemplarité........ca fait peur.
Ueli Maurer attaqué pour ses propos sur la 2e guerre mondiale
Le message d’Ueli Maurer sur le rôle de «refuge» de la Suisse pendant la 2e guerre mondiale crée la polémique. Les associations juives dénoncent une vision «simpliste et uniquement positive», alors que de nouvelles révélations jettent le trouble sur la politique d’asile de la Suisse pendant la guerre
Le message publié dimanche par Ueli Maurer à l’occasion de la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste suscite la controverse. Dans un texte court publié sur le site internet de l’administration fédérale, le Président de la Confédération a tenu a souligner le rôle de «refuge» de la Suisse «durant cette période sombre pour le continent européen».
Pour Ueli Maurer, la Suisse «est restée un pays de liberté régi par le droit grâce à l’engagement d’une génération entière de femmes et d’hommes courageux.» Ayant su maintenir son indépendance, «la Suisse ainsi devenue un refuge pour de nombreuses personnes menacées et traquées», conclut le conseiller fédéral UDC.
Plusieurs associations juives de Suisse ont déploré lundi, dans un communiqué conjoint, ce message du président de la Confédération, «qui présente les choses de manière simpliste et uniquement positive». Pour la Fédération suisse des communautés israélites, la Plateforme des Juifs libéraux de Suisse et la Coordination intercommunautaire contre l’antisémitisme et la diffamation, «le Président occulte les faiblesses et les erreurs de la politique suisse pendant la deuxième guerre mondiale, qui ont pourtant été reconnues par la Commission Bergier, mise en place par le Conseil fédéral (...) Il est regrettable qu’aujourd’hui le Président de la Confédération n’ait pas jugé utile d’approfondir la remise en question critique et indispensable de la Suisse avec son propre passé, en particulier de sa politique à l’égard des réfugiés.»
Interrogé dimanche par la RTS, l’historien et spécialiste de la 2e guerre mondiale Hans-Ulrich Jost abonde: «C’est grave, et même cynique dans ces circonstances. Monsieur Maurer essaie d’escamoter une partie de notre histoire, par rapport à un sujet très délicat.» L’historien le rappelle, «à cette époque, de nombreux juifs ont été refoulés. Entre 1933 et 1944, les juifs n’avaient pas droit à l’asile, ils étaient considérés comme des réfugiés non-politiques.» Autant de réalités que le rapport Bergier avait soulignées dès 2002, mettant en lumière les erreurs du gouvernement suisse pendant la guerre, les errements de sa politique d’asile et une certaine compromission avec le régime nazi.
Texte provenant du musée de la résistance et de la déportation
3. LES PREMIERS CAMPS
La conséquence la plus importante et la plus connue de la nomination de Hitler comme Chancelier est certainement la création, dès le mois de février 1933, des premiers camps de concentration (ils sont alors officiellement appelés « camps de rééducation ») destinés à enfermer les opposants. Ces premiers camps allemands sont souvent peu importants et se constituent fréquemment dans d’anciennes usines désaffectées. Les nazis se servaient d’ailleurs de certains d’entre eux, alors qu’ils n’étaient pas encore au pouvoir, pour interner en toute illégalité leurs dissidents.
Ces premiers camps de « rééducation » ouvrent leurs portes pour mettre très rapidement tous les opposants hors d’état de nuire. Les nazis pensent en effet que chaque Allemand, à partir du moment où il est défini « racialement » comme étant « Aryen », peut devenir un membre de la société raciste du Troisième Reich quelles que soient ses convictions politiques d’origine. La transformation de l’individu doit alors s’opérer par une remodélisation de l’esprit dans un camp. Les coups, l’abrutissement et l’avilissement sont alors les méthodes utilisées pour « convaincre « chez nous en suisse on a utilisé les prisons comme Diesse Hindelbank et d’autres » Cette « rééducation » à la norme nazie dure plus ou moins longtemps selon la gravité de la « faute » reprochée à l’opposant (communiste, syndicaliste, gréviste, mais aussi homosexuel ou marginal, par exemple).
Ces camps de « rééducation » ne sont pas les premiers existants en Allemagne. En effet, les S.A., créent un camp de concentration « privé » à Oranienbourg dès le début du mois de février 1933. Des centaines de personnes arrêtées sans motif s’y entassent. En tout, la S.A. dispose rapidement d’une quarantaine de centres de détention.
La rentabilité est définie en 1943, basée sur une durée de vie moyenne du déporté estimée à 9 mois.
À ces gains réalisés en monnayant le travail de ces esclaves, la S.S. ajoute les profits réalisés par la récupération des biens personnels des déportés, notamment les bijoux, les alliances et les dents en or. Les lingots fabriqués ont ensuite rejoint les coffres des banques suisses alors même que le gouvernement fédéral n’en ignore pas la provenance et sait la réalité meurtrière d’Auschwitz. La Reichbank récupère également les devises détenues par les déportés pour les échanger, souvent en Suisse également. Sur la courte période qui va d’avril 1942 à septembre 1943, le seul centre de Lublin-Maïdanek encaisse 178 millions de mark, somme considérable. Vers la fin du conflit, l’argent accumulé par les S.S. permet à cet organisme de devenir le banquier de l’État nazi.
Que de similitudes avec ce qui s’est passé pour ces 20000 suisses une bizarerie de l’histoire sans doute
Pas encore convaincu?
lisez ceci
http://www.lematin.ch/suisse/La-Suisse-savait-pour-la-Shoah-depuis-1942/story/22403530
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